
Nom du blog :
soloquieropensar
Description du blog :
Sans amour,le soleil n'existe pas
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
15.11.2009
Dernière mise à jour :
17.07.2010
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Derniers commentairessuperbement bien défini ! je suis moi même un dépressif que je qualifirais chronique
Par Anonyme, le 02.12.2012
aujoud'hui ce serai plutôt, "je ne sais rien, mais je sais tout"
bien sur que tu meux mettre l'article sur ton
Par aphrael, le 28.11.2009
As t on raison de vouloir souvent se retourner sur son passe?
Il est des situations dans la vie qui vous laissent des regrets amères. L’action se passe dans les années 74, si ma mémoire ne me fait pas defaut.Ma mère qui était nourrice agrée a domicile pour enfants handicapés, devait partir avec eux pour passer un mois de vacance dans un centre qui accueillait des familles dont un enfant au moins était atteint physiquement et mentalement.
Libre de toute activité pendant cette période je pris la décision de l’accompagner, ce qui me permettrait de lui apporter un peu d’aide dans la surveillance de ses petits pensionnaires.
Et puis surtout je voulais me rendre compte par moi-même quel pouvait être le rôle des éducateurs, étant attiré par cette activité.
Au sein de ce centre il y avait un grand nombre de jeunes gens adolescents(es) qui se destinait à cette profession.
Je fut très rapidement attiré par une des monitrices, pour sa maturité, son caractère calme ,sa sociabilité ,et surtout je passais de longs moments a discuter avec elle, surement des sujets des jeunes de notre époque .très vite je m’aperçu que j’avais une attirance pour elle, pas seulement pour ses talents d’oratrice mais aussi pour son physique :ses long cheveux blonds, sa démarche ,le son de sa voix, tout est resté gravé dans ma mémoire et bien des années après je pensais encore a ces courts instants passés en sa compagnie.
Je me suis surpris quelque fois guettant le moment opportun ou je pourrais aller a sa rencontre afin de me trouver auprès d’elle sans pour autant lui faire du tord dans ses activités.
Je lui dois un grand remerciement, car elle a développé en moi l’envie de me plonger dans la lecture de tout ce qui concerne la psychologie et la compréhension du comportement de nos congénères.
Mais hélas, tout est éphémère et les vacances prirent fin. Le jour de mon départ nous nous échangeâmes nos adresses nous promettant de rester en contact, mais jamais je n’eus le courage de lui dire les sentiments qu’elle avait fait naitre en moi : timidité, peur d’un refus et de me sentir ridicule, en tout cas surement un manque de confiance de ma part.
Je la revis quelques mois plus tard, l’espace de quelques heures, ou je fis le trajet en train pour avoir le plaisir de me retrouver ne serait ce qu’un court instant en sa présence.
Lorsque je repris le train pour le retour, je fus aussi stupide qu’autrefois et gardait le silence sur les sentiments que je nourrissais a son égard.
L’histoire aurait put en rester la, car le temps fini par nous éloigner et nous perdre de vue.
C’était ne pas compter sur l’évolution de la technologie, a la quelle j’ai adhéré très tôt persuadé quelle apporterait bien des solutions aux entreprises et dans tous les domaines, je parle de l’informatique. Ah que je remercie le créateur de la toile d’araignée (j’ai oublie son nom) c’est-à-dire le web. Après bien des manipulations avec l’ordi, j’ai fini par découvrir des sites permettant de retrouver des amis d’enfance et d’adolescence.je me suis lancé alors dans la grande aventure comme bien d’autres utilisateurs d’internet, esperant au moins que quelques uns y seraient inscrit ,et se souviendrait de moi.
Ce fut un vrai feu d’artifice pour moi de voir que cela fonctionnait et que je retrouvais des amis 35 ou 40 ans après, dont certains que j’ai pu revoir.
Il me vint un jour a l’esprit le nom et le prénom de cette jeunes monitrice dont j’avais conservé le peu de photo que j’avais réalisées d’elle .qu’elle ne fut ma surprise lorsque je reçu sa réponse, me disant se souvenir parfaitement de moi.
Passant régulièrement a ce moment la par Toulouse, nous nous fixâmes un rendez vous afin de se revoir. Il est difficile de s’imaginer les questions que l’on va se poser et surtout même en ayant vu la personne en photo, c’est une émotion très forte que j’ai vécu à l’ instant où je l’aperçu et cela 35 ans après
Profitant de l’heure, nous allâmes manger dans un self du centre commercial.
Que de chose à raconter en si peu de temps .je devait repartir très vite pour raison professionnelle.
Ma plus grande émotion fut lorsqu’elle m’avoua qu’elle aussi avait ressenti des sentiments pour moi. Qu’elle me contredise si j’ai mal interprété ses paroles.
Sur le chemin qui me menait a ma destination prévue, je ne cessais de repenser a ses paroles, oubliant même quelques fois que j’étais au volant de mon véhicule .je ne cessait de me poser la question qui restera sans réponse : et si j’avais osé, qu’elle aurait été ma vie.
Aurait elle été plus douce et plus sereine que celle que j’ai menée .je ne cessait de penser a ce centre de vacance, comme j’aurais voulu pouvoir remonter le temps et montrer un peu plus d’audace .Aujourd’hui nous sommes restés en contact ,mais ce qu’il ne faut pas confondre c’est que l’amitié d’autre fois ne doit plus être a mon sens que des connaissances que l’on conserve au mieux de nos jours. Bien des années on passées obligeant les mentalités à s’adapter a la vie de chacun. Je garde un excellent souvenir et me console en me disant qu’elle a au moins réussit sa vie de famille auprès de son fils et surement qu’elle a trouvé le compagnon qu’il lui fallait.je ne saurais jamais, mais je suis simplement heureux, de la savoir heureuse et aimée comme il se doit car je sais qu’elle le mérite.
Je te dédie ce texte a toi mon amie pour ta compréhension et ton dévouement à vouloir aider les autres, dont je fais partis.